Tokyo, 2052. Les néons projetaient une eclat artificielle sur les rues silencieuses. Dans un système où la impression du temps était devenue une science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était dès maintenant éventuelle d’altérer la pressentiment des secondes, de https://voyant-par-mail12198.blue-blogs.com/41094088/les-failles-de-le-destin