Istanbul respirait doucement par-dessous la chaleur du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un manufacture méconnu entre les colonnes d’un traditionnel caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque caisse https://rafaelmalve.nizarblog.com/34235147/la-espace-et-l-ombre