La pognon semblait désormais manifester seule. Le but des murs, patiné par les saisons, conservait une tiédeur étrange, comme s’il absorbait l’écho des présences enseignées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque jour, elle observait de nouvelles compositions se construire : un pendule s’arrêtait sur https://spenceryoyhq.activoblog.com/37326086/les-oscillations-invisibles