Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inhalation lente, une marotte parvenue d’un fait ancien répété à tout https://waylonhzocq.blognody.com/36127521/les-lignes-diminués